Une étude scientifique a montré que les petits-enfants, dont les grands-mères ou grands-pères avaient souffert de famine mouraient, si de même sexe, statistiquement plus tôt. Cela laisse présumer que les modifications épigénétiques peuvent être transmissibles sur deux générations.
Des chercheurs ont découvert que les fils d’hommes s’étant surnourris durant leur puberté, ont un risque plus élevé de développer un diabète. Par contre, une telle corrélation n’a pas pu être établie pour les filles. Les chercheurs pensent que cela est dû à la présence de marques épigénétiques sur le chromosome sexuel Y.