Comment avez-vous pris connaissance du festival Science on Stage ?
Nous avons pris connaissance du festival par l’intermédiaire de M. Montangero, alors responsable de Science on Stage Switzerland. Nous l’avons rencontré à la HEP Vaud. Il nous a incité à participer aux sélections qui avaient lieu en novembre 2014 au Technorama de Winterthur. M. Montangero avait d'ailleurs participé à la précédente édition européenne de ce concours, en 2013.
Comment avez-vous composé votre équipe et trouvé votre sujet ?
Notre projet porte sur la découverte du cycle de l’eau avec des élèves de 3H. Ce travail n'est qu'une petite partie d'un projet beaucoup plus vaste rassemblant de nombreuses activités sur le thème de l'eau, qui a été réalisé dans le cadre de décloisonnements fréquents entre les classes de Mme Stanley et de M. Haan. Les élèves de M. Rochat en 5H ont aidé nos élèves pour certaines tâches difficiles à effectuer.
Comment avez-vous choisi votre projet ?
Nous avions plusieurs projets possibles. Nous avons choisi celui qui nous semblait pouvoir intéresser le plus d’enseignant·e·s. Science on Stage cherche en effet à promouvoir les échanges de pratiques et d’idées entre enseignant·e·s. Parmi les éléments intéressants de notre travail, il y a l’utilisation de plusieurs supports pédagogiques différents (album, kamishibaï, maquettes, expériences, film, cahier de sciences, ...) et la variété des activités proposées. Nous avons réalisé une mallette pédagogique regroupant toutes les activités de ce projet. Cette mallette est aujourd'hui à disposition des enseignant·e·s de notre collège.
Vous avez travaillé en équipe : comment s'est passée la collaboration, qui a fait quoi ?
Toutes nos collaborations se sont très bien passées. Cela fait déjà plusieurs années que nous travaillons en décloisonnements pour nos activités de sciences dans nos classes. Alors ... aucun souci de collaboration ! Malheureusement, Mme Caroline Stanley n’a pas pu venir à Londres.
Quel investissement en temps cela a-t-il demandé?
La participation au concours nécessite un certain investissement de la part des enseignant·e·s. Il s’agit de préparer un stand ainsi qu’une présentation orale de quelques minutes. Le concours rassemblant des enseignant·e·s de l’ensemble de la Suisse, nous avons fait notre présentation en anglais mais ce ne fut pas le cas de tous les candidats. L’anglais reste néanmoins un avantage pour le concours.
Qu'est-ce que cette expérience vous a apporté?
Cela a donné du relief à notre travail mené en classe. Nos élèves étaient très contents de savoir que leur travail serait présenté dans le cadre d’un concours. La préparation du concours a été très intéressante. Préparer un stand, un poster et un diaporama, le tout en anglais...